Un tour dans la Portoferraio de Napoléon, du manoir des fêtes à son théâtre personnel. Une promenade dans les ruelles du centre historique, se béant de la vue des majestueuses forteresses de la ville où l’Empereur fut exilé
Nombreuses sont les traces du passage de Napoléon Bonaparte à Portoferraio. Une promenade pour découvrir les lieux qui encore aujourd’hui nous parlent de l’exile de Napoléon est sans doute une des plus suggestives.
Départ du petit port médicéen, en jetant un coup d’œil aux boutiques, cafés et restaurant, en direction de ‘Porta a mare’, ancienne entrée de la citadelle. Une agréable ascension dans les ruelles de Portoferraio, jusqu’au versant nord où se trouve ‘Villa dei Mulini’, résidence d’hiver de Napoléon, qui mérite sûrement une visite et une longue pause. Pour les plus courageux: ‘Forte Stella’ est à deux pas de la Villa!
Une étape avant de rejoindre la Villa et ses reliques est sûrement le Théâtre de Napoléon (aujourd’hui connu comme ‘Teatro dei Vigilanti “Renato Cioni”’), petit joyau en style 1700 au centre de la Portoferraio ‘haute’.
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Forte Stella
Fort à plan étoilé en briques rouges qui domine les falaises au nord de la baie de Portoferraio.
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Villa dei Mulini
Construite en 1724 par le Grand-Duc Jean Gaston de Médicis, fut ensuite réaménagée selon les exigences de Napoléon par l’architecte de Livourne Paolo Bargigli, en particulier pour réaliser un grand salon pour les fêtes, ce qui manquait à la structure originale
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Musée des Reliques Napoléoniennes
Une curieuse exposition de reliques dédiée aux passionnés d’histoire napoléonienne, qui témoignent la présence du souverain sur l’île.
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Bastions médicéens
Promenez-vous sur le front d’attaque, un temps ici se trouvaient les gardes du Grand-Duc, savourez la grandeur de l’ancienne citadelle érigée en défense des attaques côté Méditerranéen et les vues époustouflantes sur les eaux turquoises de l’Île d’Elbe.
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Théâtre ‘dei Vigilanti’
S’asseoir sur les sièges en velours bleu ciel et y voir une des représentations en programme est une expérience unique où on respire l’histoire.